La chance d’un avenir. Né dans une famille modeste et dans un pays marqué par une faible mobilité sociale, ma plus grande chance a été que ma mère ait eu le courage de s’installer en Belgique alors que je n’avais pas encore deux ans. Ce choix a ouvert la voie à un avenir plus radieux.

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La découverte du droit. Durant ma scolarité, l’enseignement traditionnel m’a souvent frustré : je n’ai jamais compris l’intérêt de retenir par cœur des informations figées dans un monde en constante évolution. Tout a changé lorsqu’une conseillère d’orientation m’a convaincu d’essayer les études de droit. Après m’avoir fait passer un test de logique – auquel j’ai obtenu un résultat presque parfait – elle m’a expliqué que le droit n’était pas une discipline de mémoire, mais bien de réflexion logique.

 

Au-delà des règles. Très vite, j’ai découvert que le droit dépasse largement l’application mécanique de règles. Il incarne des principes fondamentaux liés à notre nature humaine, à notre volonté d’avancer et d’améliorer le quotidien. Ces principes se traduisent dans des textes et des décisions qui permettent de les comprendre, de les repenser et de les appliquer pour élever notre société.

 

L’écho d’une conviction. Cette prise de conscience a résonné profondément en moi : mon ambition a toujours été de contribuer à l’amélioration de la société belge, en rendant une partie de ce qu’elle m’a offert et en veillant à ce que mon passage contribue à bâtir un avenir plus juste. Cette ambition se concrétise aujourd'hui dans la défense dévouée des causes que j'estime justes.

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